PSAUME 104 (103)
Les splendeurs de la Création
Bénis Dieue, mon âme.
Dieue, mon ‘Dieue, tu es si grande !.
Dans les ravins tu fais jaillir les sources,
elles cheminent au milieu des montagnes;
l’oiseau des cieux séjourne prés d’elles,
sous la feuillée il élève la voix.
De tes chambres hautes, tu abreuves les montagnes;
la terre se rassasie du fruit de tes oeuvres;
tu fais croître l’herbe pour le bétail
et les pliantes à l’usage des humains,
pour qu’ils tirent le. pain de la terre
et le vin qui réjouit le coeur de la femme,
pour que l’huile fasse luire les visages
et que le pain fortifie le coeur de la femme.
Tu fis la lune pour marquer le temps,
les lionceaux rugissent après la proie
et réclament à Dieue. leur manger.
Quand le soleil se lève,
la femme sort pour son ouvrage,
faire son travail jusqu’au soir,
éduquer ses fûtes, ses fils.
Que tes oeuvres sont nombreuses, Dieue !
toutes avec sagesse tu les fis,
la terre est remplie de ta richesse.